Ashleigh Barty dominiert Danielle Collins und berichtet über die Open d’Australie

Elle vait déjà un Roland-Garros et un Wimbledon à son palmarès. Mais nul doute que cet Open d’Australie aura one place à part dans le coeur d’Ashleigh Barty. Chez elle et devant son public, l’Australienne a remporté samedi le troisième titre en Grand Chelem de sa carrière et avec la manière. Elle n’a pas perdu un set de la quinzaine et la résistance de Danielle Collins en finale ne l’a pas déviée de sa quête (6-3, 7-6) [2]).

Il faut sans doute anfänger par la fin pour illustrer le sang-froid de la n°1 mondiale sur ce match si important tout son pays. Dans ce jeu décisif, Barty n’a pas tremblé, impeccable derrière ses mises en jeu et faisant jouer Collins sur ses propres services pour la pousser à l’erreur. Elle s’est détachée en quelques instants (4-0) et a tenu cet avantage jusqu’à la final et son intensive cri de joie.

Un deuxième set à rebondissements

Une vingtaine de minute plus tot pourtant, la Rod Laver Arena était un brin sonnée. Sa Championne, qui avait parfaitement lancé son match et dominié sans grand suspense le premier set (un balle de break sauvée), était en mauvaisepose face à l’Américaine. Menée 1-5 avec un break de retard, Barty était tout proche de céder sa première manch du tournoi devant les coups de boutoir de son adversaire.

3/3

Barty a joué trois finales de Grand Chelem, elle a remporté les trois pour un joli 100% de réussite à ce niveau.

Mais laconfance est une donnée qui peut très vite changer de camp sur un court et Collins, à qui tout avait réussi pendant quatre jeux, a légèrement baissé en intensité au moment de servir pour égaliser à un set partout. Suffisant pour que Barty s’engouffre dans la brèche. Un peu plus de consistance dans ses coups, un slice de revers imparable pour débreaker une première fois, une première qui passe un peu plus (deux doubles fautes lui avaient coûté le double break) et elle remettait la pression sur la 30e monde joueuse.

Dans ce match opposant deux styles bien differents, une des clés a été la capacité de l’Australienne à ne pas s’affoler quand Collins a enchaîné les coups gagnants. Elle a continué à la faire travailler et, à l’image du tie-break final, a fini par la faire craquer. Elle devient la première locale depuis Chris O’Neil, il ya 44 ans, à s’imposer à domicile. À Melbourne, la nuit s’annonçait longue pour Barty, son clan et tout un public avide de la célébrer.

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